Un donneur de sperme américain rencontre 13 de ses 19 enfants, ça laisse réfléchir !
OK l’info date de quelques mois, mais je viens de tomber dessus sur un flux de données. Comme quoi
OK l’info date de quelques mois, mais je viens de tomber dessus sur un flux de données. Comme quoi sur Internet les choses vont et viennent…
Et si un jour on vous annoncez qu’au lieu d’être enfant unique, vous avez 18 frères et sœurs ? Houlà, ça en fait des choses encaisser et à partager !
Michael Rubino, 57 ans, a donc décidé de donner son sperme pour aider les familles victime d’infertilité. 20 ans plus tard, grâce à une émission de télévision, 2/3 de ses enfants ont accepté de le rencontrer. Âgés de 16 à 21 ans, certains sont même frères et sœurs.
A savoir qu’aux USA le donner de sperme n’est pas obligé de rester anonyme. Les enfants peuvent donc passer un test de paternité et vérifier leur affiliation avec le donneur.
Certains d’entre-eux ont même accepté de le rencontrer. Les autres n’ayant pas formulé vouloir savoir qui était leur “vrai” père.
Les parents à moitié biologique (du côté de la mère) savent très bien par où ils sont passés. Mais pour l’enfant, apprendre du jour au lendemain que leur père n’est pas ‘leur vrai père” peut parfois choquer. Si la plupart ont bien pris la chose (et ont été au courant surtout), je ne sais pas du tout comment je pourrais réagir à cela. Intégrer une tierce personne dans le moule parental classique est-il difficile à accepter ? Plus ou pas de savoir qu’on soit adopté ? L’enfant doit-il savoir ou pas ? De multiples questions en fait dont je n’ai pas la réponse.
Je sais bien à notre époque où le genre se veut neutre, où les opérations hommes/femmes et inversement ne choquent plus, où les goûts et les envies sexuelles sont légions, où la recherche génétique de ses ancêtres et possible, ce genre d’informations ne doit pas forcément être terrible à encaisser.
Enfin de mon côté, il n’y a pas photo, pas de besoin de test pour savoir que je lui ressemble physiquement, mon frère aussi. Mais heureusement que je suis loin du salopard qu’il a été. C’est donc sur cette dernière question que je vous laisse, le donneur peut-il être un “meilleur père” que le père qui éduque l’enfant ? Ah, ah, vous avez 2h00, bonne journée !
