Pourquoi payer ses jeux-vidéos par cartes prépayées ?

Que cela soit sur les consoles de salons et sur les smartphones, je suis super paranoïaques de laisser des traces de ma carte bancaire ou de mon compte courant.

Non seulement en cas d’utilisation abusive d’un tiers (invité malveillant ou vol de matériel), mais aussi par erreur ou envie des enfants, l’achat est vite réalisé. Comme tout est immatériel, les enfants ne peuvent pas se rendre compte, malgré les diverses demandes de validation, que c’est du cash qui est débité lorsqu’un achat est réalisé de cette manière.

Et comme les garçons préfèrent les jeux dématérialisés aux cartouches à balader partout (et de les perdre, c’est déjà arrivé #sigh) reste alors la solution des cartes prépayées.

Les cartes prépayées, la solution pour être en sécurité

Carte Nintendo Shop, Carte prépayée Battle net, Carte Androïd ou autre, elles sont disponibles un peu partout en boutique, même à la librairie ! Mais bon je préfère tout de même passer dans un magasin spécialisé en jeux vidéos proche de mon boulot, en plus cela me permet de papoter nouveautés des jeux Blizzard and Co avec eux et d’être au courant des prix du marché du moment.

Une fois dans la poche, il suffit ensuite de rentrer le code de la carte au moment de l’achat du jeu, et le tour est joué.

L’intérêt de fonctionner de cette manière, c’est de pouvoir payer en liquide en caisse. En effet, tous les ados n’ont pas de carte bancaire, ou alors limitée en crédits, ainsi ils peuvent s’acheter une carte en prévision d’un achat de jeu ultérieur. Sinon, en cadeau de Noël ou de fête, c’est très bien aussi et cela prend nettement moins de place sous le sapin !

Le seul défaut étant que ces cartes sont forfaitaires :10, 15, 20, 25, 50 euros/crédits (par exemple), les taux sont différents selon les marques. Mais même si le pris du jeu est inférieur à la somme de la carte, généralement les e-shop crédités gardent la monnaie restante à votre disposition. Ainsi à l’achat suivant, l’utilisateur doit faire le calcul afin d’utiliser les crédits restants en ajoutant, au besoin, une nouvelle carte pour payer la différence. C’est ainsi que nous fonctionnons à la maison dans le meilleur des mondes.