Le repas de Noël est devenu pour nous un vrai casse-tête depuis quelques temps, comme certains repas de fêtes durant l’année.
Entre une personne qui est allergique à quasiment tous les aliments, selon son médecin, mais qui n’a jamais consulté d’allergologue « c’est le médecin qui le dit… » (bon je passe sur le cas, il y a de VRAIS allergies, mais le reste on se pose des questions), une autre personne qui ne mange que « ceci ou cela », et enfin.. les ENFANTS !
Car tout à chacun le sait, les mômes les jours de fêtes et encore plus à Noël, ne rêvent que d’une chose : JOUER ! Mais lorsqu’ils ont faim, c’est sur l’apéro qu’ils se rabattent. Les légumes et les plats volumineux leurs font peur, encore plus que le reste de l’année.
Donc avec toute cette bande de bras cassés, comment réellement édicter un menu de réveillon qui tient la route ?
Et bien c’est tout simple… Cette année on c’est dit « tant pis qui voudra manger, mangera ! »
Marre de ne pas pouvoir mettre une bûche de Noël digne de ce nom, ou de faire pêter une dinde aux marrons ou encore du lapin à l’orange et aux noix.
Mais, pour ne pas frustrer les esprits et terminer en bagarre de Noël, on FRACTIONNE !
Signe des temps, cette année, nous ne prévoyons qu’un apéro amélioré et un seul plat, qui se trouve être une entrée en fait, pour le Réveillon de Noël : une bûche glacée pour faire couler et c’est fait. Autre signe des temps : je ne sais pas encore précisément ce que nous mangerons le second Réveillon… Je suis large, comme dirait l’autre.
tu as encore le temps de faire tes courses 🙂
Je confirme un vrai casse-tête. Ici je ne fais pas avec les préférences de chacun, ils mangeront ce qu’il y a ou pas 😉
Ce qu’on douté est arrivé, certains cadeaux ont plus, d’autres non, idem pour le menu, mais au final dans l’ensemble chacun à trouvé son compte