Retrouvez Mickey dans la BD « Darkenblot »
Entre 2012 et 2017 la BD de Mickey Darkenblot est apparue dans Topolino, version italienne du Journal de Mickey
Entre 2012 et 2017 la BD de Mickey Darkenblot est apparue dans Topolino, version italienne du Journal de Mickey français. Les Italiens Andrea Castellan et Lorenzo Pastrovicchio signent pour une bande dessinée ambitieuse et originale avec Darkenblot ! Véritables spécialistes du Fantôme Noir, ils adorent le mettre en scène dans ses intrigues.
Diffusée en France dans Mickey Parade Géant, elle n’était pas complète, il fallait donc palier à ce manque avec une publication du tome 1 puis du 2 (contenu inédit en France).
Mickey Parade Géant : Darkenblot
Descriptif.
- Editeur : Disney Hachette Presse.
- Sortie française : 14 février 2018.
- Nombre de pages : 258 pages.
- Langue : Français.
- Dimensions : 15 x 21,5 x 2 cm.
- Prix indicatif : 5,95 €.
La couverture se veut argenté et gaufré, donnant un aspect visuel prenant et un toucher intéressant. Le livre se termine avec des pages de gags et des jeux.
Vous trouverez dans le premier volume “Le Futur est déjà là” et “Darkenblot 2.0 Régénération”. Le second tome propose quans à lui de suivre “Darkenblot 2.1 Nouvelle Partie”, un interlude “Darkenblot 2 le Film” et enfin “Darkenblot 3 Némésis”.
Récit inédit et totalement original dans l’univers de la BD Mickey, Darkenblot propose une histoire haletante et fraîche pour petits et grands.
Le Fantôme Noir (éternel méchant de l’univers de Mickey en BD) est apparu en 1939 aux USA. Il a été imaginé par Merrill De Maris et Floyd Gottfredson. Il faudra attendre 1965 pour le voir apparaître en France pour la première fois dans le Journal de Mickey. Maître du crime, rêvant d’entrer dans les livres d’histoire, il ne cesse de mettre en œuvre des plans diaboliques pour y parvenir. Mickey s’interpose toujours. A noter qu’il apparaît également dans un épisode de La Bande à Picsou en 1990 où il kidnappe le canard milliardaire et Flagada Jones.
La série se paye même le luxe de citer Isaac Asimov. On ne peut en effet pas s’empêcher de penser à lui et à ses trois lois de la robotique, réinterprétés à la sauce Roboville :
- Un robot ne peut porter atteinte à un humain,
- Un robot doit obéir aux ordres donnés par un humain, sauf si ces ordres entrent en conflit avec la première loi,
- Un robot doit protéger son existence, sauf si cela entre en conflit avec les deux premières lois.
{BD reçu en test}
2 Comments
Salut. Merci pour la présentation de ce BD. En fait, depuis l’âge de 7 ou 8 ans, je lis le Journal de Mickey et 20 ans plus tard, ça ne change pas. Aussi, je suis ravie de découvrir cette nouvelle publication. 🙂
et oui, c’est toujours d’actualité