Dans la majorité des cas, la rupture sonne comme un échec, un désaveu voire une trahison. Des sentiments confus s’entremêlent et on sait tous que l’on devra vivre avec. En espérant que le temps calmera les émotions les plus violentes, de la colère et du sentiment d’injustice à la dépression en passant par l’autodestruction… Mais la rupture, c’est aussi le commencement d’autre chose, et l’occasion de dédier du temps à une introspection générale. C’est ce que nous allons voir dans cet article partenaire. Article en collaboration commerciale

Attention à l’égo !

Bien sûr, l’amour contrarié, le coup de couteau dans le contrat, l’injustice subie jouent un grand un rôle dans le désappointement de l’homme divorcé. Mais entre nous, soyons francs. Ce qui fait mal dans une rupture subie, c’est l’image de l’échec renvoyée aux autres. La tristesse et le mal être promenés dans tous leurs états et s’affichant clairement aux yeux du monde extérieur. Si le moral en prend un coup, l’égo n’est pas en reste.

Malheureusement, dans un contexte aussi particulier, c’est trop souvent l’égo qui prend le dessus. Les émotions mettant le bonhomme à plat, il faut bien que le cerveau supplée les fonctions défectueuses… En prenant toute la place. Avec lui, revient l’égo donc. Un égo pas tout à fait prêt à lâcher prise et souvent dominé par une vague idée de revanche. L’idée malheureuse qu’il est primordial de chasser au plus vite car très mauvaise conseillère.

Rompre au plus vite pour respirer

Dès lors que la décision est prise et semble irrémédiable, il faut acter la séparation administrativement dans les plus brefs délais. Tout simplement pour pouvoir passer à autre chose. Jouer sur le partage des biens n’a d’autre but que de satisfaire un égo qui aurait tendance à se boursoufler un peu. Derrière les justifications liées aux biens ou au patrimoine du couple se cache en vérité une volonté de conserver le lien le plus longtemps possible. Voilà comment des situations qui auraient pu se gérer sainement finissent en procédures de 2 ou 3 ans ; des procédures longues, coûteuses et forcément très énergivores. Ah ! Certes, on empêche madame de repartir vers ses nouveaux horizons. On la contrarie dans sa vie sans nous. Mais ce faisant, dans cette idée nauséabonde de nuire à l’autre en retour de la nuisance subie, on s’empêche soi-même d’avancer. Au final, tout le monde est perdant. Et ne parlons même pas des enfants…

Opter pour une procédure rapide

Le mieux à faire est donc de différer la colère de façon à se permettre de passer à autre chose. Lâcher prise et se mettre d’accord très vite sur les conséquences du divorce, préalable indispensable à un divorce par consentement mutuel. Un divorce sans juge dont la durée ne dépend que des protagonistes. Car dès le dossier constitué et les accords trouvés entre les parties, leurs avocats respectifs peuvent s’atteler à la rédaction d’une convention de divorce.

Une fois signée par les parties et leurs avocats, cette convention est validée sur la forme par le notaire. Cette validation acquise, le divorce est effectif. Il est possible alors de commencer à se reconstruire, plus vite, avec moins de heurts et, accessoirement, avec un peu plus d’argent disponible. Inutile de rester vivre dans au présent dans le fantasme d’une vie passée. Vous vous en serez reconnaissants. Et vos enfants aussi…

En effet, il est important de prendre le temps de traverser le deuil amoureux et de ne pas se sentir coupable, mais aussi de demander de l’aide et de s’entourer de personnes bienveillantes. Il est également indispensable de trouver un temps pour soi et de prendre soin de soi.

Parfois, il peut être utile de consulter un professionnel pour aider à gérer les émotions et les pensées négatives qui peuvent surgir. Le plus important est de prendre le temps de retrouver le chemin de la guérison et de la reconstruction. La résilience est la clef pour gérer et traverser la rupture.

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