Présentation de l’éditeur :

Biographie de l’auteur :

Roland Habersetzer pratique les arts martiaux depuis 1957 et fut l’une des premières ceintures noires françaises de karaté en 1961. Considéré à juste titre comme un spécialiste des arts martiaux japonais et chinois, diplômé à des titres divers en France, au Japon et en Chine, il a été nommé 9e dan au Japon en 2006 par Tsuneyoshi Ogura (Gembukan). Il est aujourd’hui Hanshi du Gembukan et Soke (maître fondateur) de son propre style ” Tengu-no-michi “. Ces grades et titres lui furent également confirmés par Tadahiko Ohtsuka ” La reconnaissance et la récompense d’un rare prosélytisme comme d’une efficacité certaine, qui souligne aussi le sens que Roland Habersetzer a toujours voulu donner à ses quarante-neuf années de pratique des arts martiaux et d’engagement en faveur d’une tradition authentique. ” Roland Habersetzer a débuté en 1968 un exceptionnel travail de vulgarisation qui, avec quelque soixante-dix ouvrages publiés à ce jour, en a fait l’auteur de la plus importante œuvre au monde consacrée aux arts martiaux, une source historique, technique et pédagogique de référence dans tous les pays francophones et même à travers le monde.

Détails sur le produit :

Broché: 143 pages
Editeur : Budo Editions (1 septembre 2009)
Collection : Kohai

Avis personnel :

Je rêvais depuis longtemps de pratiquer un sport qui soit à la fois “Zen”, motivant, chaleureux et qui demande un dépassement personnel. Dans l’Iaido, j’ai trouvé tous ces critères et même plus car adolescent je voulais faire du Kendo mais le coût en était trop cher.

L’Iado est l’art de tirer le sabre et de trancher en un seul mouvement. J’ai lu il a peu que cet art martial se focalisait plus sur les mouvements que sur l’efficacité de la technique. Je ne suis pas pour du tout, suivant l’école et les senseï, on allie mouvement, harmonie spirituelle ET technique. Sans cela comment pouvoir avancer et être fier de soi si on néglige le côté technique de l’Iaido.

Concernant ce livre, il est complet dans la description pas à pas des katas “génériques” et non ceux d’une école précise. Il manque néanmoins la description des saluts et les méthodes pour rengainer le sabre. En effet, chaque école  possède ses propres formes, techniques et mouvements. Je pense donc que l’auteur n’a pas voulu favoriser une école plus qu’une autre sur ces points. A lire et à découvrir.

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